Histoire des politiciens américains punis par leur propre parti


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Mercredi, les représentants républicains ont voté pour dépouiller la représentante Liz Cheney de sa position de leader au sein de la délégation du parti à la Chambre, une mesure qui représente une étape importante d’un parti politique qui a des précédents dans l’histoire des États-Unis. L’oignon revient sur l’histoire des politiciens américains punis par leur propre parti politique.

  • Sénateur Thomas J. Dodd (D): Censuré en 1967 pour avoir dépensé des fonds de campagne à des fins personnelles dans les jours précédents, il y avait des moyens juridiques plus intelligents pour les sénateurs de le faire.
  • Représentant Charles Diggs (D): Un représentant du Michigan a été censuré pour fraude postale, ce que tout le monde a reconnu comme un crime incroyablement boiteux à prendre.
  • Représentant Theodore Stanton (R): Expulsé du Parti républicain en 1894 lorsqu’ils ont découvert qu’il avait passé les 12 dernières années au Congrès à représenter Franklin, un État qui n’existait pas.
  • Sénateur John L. McLaurin (D): Censuré en 1902 pour s’être fait botter le cul au Sénat par son compatriote Benjamin Tillman.
  • Représentant Bob Ney (R): Expulsé du Congrès pour être celui qui est allé trop loin avec le scandale de corruption de Jack Abramoff et l’a ruiné pour tout le monde.
  • Sénateur Barack Obama (D): Puni pour ses talents d’oratoire en étant forcé de se présenter à la présidence.
  • Sénateur Huey Long (D): Enquête pour fraude électorale en 1934 après que l’auteur Robert Penn Warren l’ait exhorté à créer une sorte de scandale pour pimenter la seconde moitié de Tous les hommes du roi.
  • Le sénateur John H. Mitchell (R): Accusé de corruption en 1905 mais décédé au cours de la procédure, évitant aux républicains du Sénat de devoir l’exécuter eux-mêmes.
  • Représentant Lyle Diggory (R): Retiré du Congrès en 1982 après avoir été découvert qu’il utilisait son bureau pour représenter les intérêts de ses électeurs.

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